Désaccord ou basculement émotionnel ? Pourquoi vos tensions persistent et comment identifier le moment clé où tout se dégrade. Découvrez les enjeux psycho-émotionnels invisibles qui maintiennent vos conflits en vie. (Suite dans l'épisode 2).
Description
Qu'est-ce qu'un conflit ? Démystifier la vraie nature de vos tensions
Vous pensez qu'un conflit c'est une opposition d'intérêts, une question de tort et de raison ? Cette vision simpliste est précisément ce qui vous maintient prisonnier de vos tensions.
Le désaccord n'est pas encore un conflit
Chez RESOV'CO, nous entrons au cœur du conflit. Un désaccord - une différence de point de vue, de valeur, de façon de faire - CE N'EST PAS ENCORE UN CONFLIT. Vous pouvez avoir des points de vue divergents et maintenir le dialogue, l'échange, la recherche commune.
Le basculement émotionnel décisif
Ce qui fait basculer du désaccord au conflit, c'est un mécanisme beaucoup plus insidieux : le moment où vos réactions psycho-émotionnelles prennent le dessus. L'impression soudaine d'être attaqué, incompris ou menacé déclenche une réaction de fuite ou d'attaque. La tension prend toute la place. Un conflit, c'est AVANT TOUT un basculement émotionnel.
Les enjeux visibles et invisibles
Il y a bien sûr des enjeux concrets à régler : matériels et financiers, juridiques, organisationnels. Mais ces enjeux ne sont que la partie visible de l'iceberg. En dessous, il y a tout un monde invisible.
Dans un conflit, si l'on ne comprend pas ce qui se joue vraiment sur le plan psycho-émotionnel, on ne règle rien du tout.
Selon notre approche, il y a quatre types d'enjeux fondamentaux aussi importants que les enjeux matériels :
♦ Les enjeux psychologiques et émotionnels : blessures, frustrations, colère, peur du rejet♦ Les enjeux identitaires et existentiels : quête de reconnaissance, défense de l'ego
♦ Les enjeux relationnels : définition de la relation, rapport de place
♦ Les enjeux symboliques et cognitifs : divergences de représentation et de valeurs
L'ego au cœur du conflit
La plupart de nos luttes interpersonnelles sont alimentées par notre besoin le plus archaïque : la quête de reconnaissance. Nous ne nous battons pas seulement pour la chose, mais pour faire reconnaître notre droit sur cette chose et notre propre existence aux yeux de l'autre.
L'engrenage qui s'auto-entretient
Un conflit ne reste pas statique. Il s'aggrave dans un cercle vicieux : un attaque, l'autre contre-attaque, chacun se justifie en disant "Je ne fais que me défendre". C'est une communication agonistique qui divise et produit de l'opposition.
Notre approche pour une sortie durable
Pour régler durablement un conflit, il faut cesser de traiter uniquement les enjeux pratiques.
Chez RESOV'CO, nous croisons les approches : psychologie, organisation, cadre légal, histoire de vie. Nous considérons TOUS les enjeux - psychologiques, émotionnels, identitaires, relationnels ET matériels, financiers, organisationnels.
SUITE dans l'épisode 2
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RESOV'CO Cabinet de Conseils et de Coaching en gestion de conflits – Cabinet de Médiation
Transcription
Qu'est-ce qu'un conflit ? Comprendre le basculement qui change tout
Bienvenue dans cet épisode d'Au Cœur du Conflit.
Aujourd'hui, nous allons mettre en lumière ce qu'est vraiment un conflit et pourquoi votre compréhension actuelle vous maintient probablement prisonnier de vos tensions. Je vous donnerai à la fin une action concrète pour commencer à identifier où vous basculez du désaccord au conflit.
Points clés de cet épisode :
• [00:01:37] Pourquoi bien définir le conflit est crucial
• [00:02:18] Le moment de basculement décisif
• [00:04:14] Les multiples couches d'un conflit
• [00:06:08] Les quatre enjeux invisibles fondamentaux
• [00:09:25] L'ego et l'identité au cœur du conflit
• [00:12:17] Le rapport de place dans la relation
• [00:13:33] L'engrenage destructeur
• [00:16:03] Le rôle crucial du contexte
• [00:18:17] Comment sortir durablement du conflit
• [00:24:06] Exercice pratique : identifier le basculement
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Une erreur de perspective qui vous maintient prisonnier
Si vous vous intéressez au conflit, vous avez probablement une idée très claire de ce que c'est : une dispute bruyante, une opposition d'intérêt, une question de savoir qui a tort ou raison. Laissez-moi vous dire d'emblée que vous vous trompez probablement sur la nature véritable du conflit. Et c'est précisément cette erreur de perspective qui peut vous maintenir prisonnier des tensions.
Pourquoi est-ce si important de bien définir le conflit ? Parce que si vous ne comprenez pas ce qu'est vraiment un conflit, vous allez traiter le mauvais problème, perdre votre temps et vous épuiser.
Désaccord et conflit : une distinction fondamentale
Chez RESOV'CO, nous entrons au cœur du conflit et ce que nous avons découvert c'est que le désaccord - la différence de point de vue, de valeur, de façon de faire - CE N'EST PAS ENCORE UN CONFLIT. Vous m'entendez bien ? Ce n'est pas encore un conflit.
Vous pouvez avoir des points de vue divergents et maintenir le dialogue, l'échange, la recherche commune. On peut être en désaccord et continuer à construire ensemble. Alors qu'est-ce qui fait basculer du désaccord au conflit ?
Le basculement psycho-émotionnel
Ce qui fait basculer un simple désaccord dans la spirale destructrice, c'est un mécanisme beaucoup plus insidieux et rapide : le moment où vos réactions psycho-émotionnelles prennent le dessus.
Imaginez deux associés dans une petite entreprise. Ils discutent de la stratégie commerciale. L'un veut investir dans le digital, l'autre préfère renforcer le réseau physique. À ce stade, c'est un désaccord. Ils argumentent, ils échangent. Pas de problème. Mais tout à coup, l'un d'eux dit « Tu ne comprends rien au marché actuel ». Et là, c'est fini. Le dialogue se coupe. La raison ne suffit plus. L'autre se fige sur sa position.
Qu'est-ce qui s'est passé ? L'impression soudaine d'être attaqué, d'être incompris ou menacé déclenche une réaction de fuite ou d'attaque. La tension prend toute la place. Vous reconnaissez ce moment de basculement ?
⚠️ Un conflit, c'est avant tout un basculement émotionnel. C'est un phénomène qui nous est inhérent, mais il est géré ou mal géré sur le plan psychologique avant de l'être sur le plan pratique.
Les enjeux concrets : nécessaires mais insuffisants
Si le conflit c'est un basculement émotionnel, qu'est-ce qu'il y a à régler concrètement ? Il y a plusieurs couches et c'est là que ça devient complexe. Reconnaissons la réalité de toute situation conflictuelle : il y a bien sûr des enjeux très concrets qui doivent être réglés.
Ces enjeux concrets se manifestent sous différentes formes :
- Les enjeux matériels et financiers : dans une succession, savoir qui hérite de quoi ; dans une entreprise, comment répartir les bénéfices
- Les enjeux juridiques : déterminer qui a le droit de décider, ce qui est écrit dans le contrat, quelles sont les obligations et droits de chacun
- Les enjeux organisationnels : la répartition des rôles, la structure du travail, la communication interne
Ces enjeux sont bien réels. Ils doivent être traités. Traditionnellement, on les traite avec des techniques de négociation raisonnée, des avis d'experts financiers, avocats, notaires.
Mais voilà où nous, chez RESOV'CO, nous voyons les choses différemment : ces enjeux concrets et pratiques ne sont que la partie visible du conflit. Si l'on ne rentre pas au cœur du conflit, si l'on ne comprend pas ce qui se joue vraiment sur le plan psycho-émotionnel, on ne règle rien du tout.
L'iceberg : les enjeux invisibles mais cruciaux
Notre approche repose sur l'idée que les enjeux concrets ne sont que les symptômes des composantes profondes. C'est comme un iceberg. La partie visible, c'est l'argent, le contrat, l'organisation. Mais en dessous, il y a tout un monde invisible.
Selon nous, il y a quatre types d'enjeux fondamentaux, qui sont tous aussi importants que les enjeux matériels, financiers, organisationnels et juridiques :
- Premièrement, les enjeux psychologiques et émotionnels : ce sont eux qui déterminent le basculement du désaccord au conflit. Les blessures, les frustrations, la colère, la tristesse, les émotions, la peur du rejet ou de l'abandon
- Deuxièmement, les enjeux identitaires et existentiels : la quête de reconnaissance, la peur de perdre sa valeur ou son identité, la défense de son ego, la nécessité de se sentir exister et respecté
- Troisièmement, les enjeux relationnels : la définition de la relation elle-même, le rapport de place (qui domine, qui est dominé), la gestion des dualités comme l'autonomie et la dépendance, la proximité et la distance
- Quatrièmement, les enjeux symboliques et cognitifs : les divergences de représentation, de perception et de valeur qui sont constitutives de notre identité, de notre façon de voir le monde et qui rendent les luttes très violentes
Exemple : une succession familiale
Prenons une succession familiale. En apparence, il s'agit d'une question juridique et financière. Qui hérite de quoi ? C'est simple, non ? Mais au cœur, qu'est-ce qu'on trouve ?
Une sœur qui dit « j'ai sacrifié ma carrière pour m'occuper de maman pendant dix ans et personne ne le reconnaît » - enjeu de reconnaissance. Un frère qui dit « si je ne garde pas la maison familiale, je perds mes racines, je perds une partie de moi » - enjeu identitaire. Et une autre qui pense « ils veulent tout prendre, ils ne m'ont jamais considéré comme faisant partie de la famille » - enjeu relationnel et existentiel.
Les enjeux juridiques sont la scène sur laquelle se rejouent les blessures psycho-émotionnelles profondes.
⚠️ Si vous traitez uniquement les enjeux pratiques, même si vous obtenez gain de cause devant le juge, même si vous avez le meilleur contrat ou la meilleure répartition des tâches, vous allez rester avec cette tension, cette colère, cette tristesse. Les ruminations continueront parce que la dimension psychologique et émotionnelle n'aura pas été traitée.
L'ego et la quête de reconnaissance
Pourquoi ces enjeux psycho-émotionnels sont-ils si puissants ? Pour comprendre cela, nous devons plonger dans les mécanismes qui mènent au basculement. Et au cœur de ce basculement, il y a l'ego et l'identité.
Selon notre expérience, beaucoup de conflits, même ceux qui semblent concerner la stratégie ou l'argent, sont en réalité des conflits identitaires. La plupart de nos luttes interpersonnelles sont alimentées par notre besoin le plus archaïque : la quête de reconnaissance.
Nous ne nous battons pas seulement pour la chose, mais pour faire reconnaître notre droit sur cette chose et notre propre supériorité ou existence aux yeux de l'autre.
L'ego - votre conscience et image de vous-même - est constamment en construction. Dès que cette image est fragilisée ou menacée par la crainte d'être jugé, exclu, invisible ou de ne pas être important, l'ego nous pousse à défendre notre valeur coûte que coûte. Et c'est là que l'on veut convaincre et avoir raison.
Un exemple du monde professionnel : un médecin spécialiste dans une clinique propose une nouvelle organisation pour améliorer le parcours patient. Son associé lui répond : « Intéressant, mais on verra plus tard ». Juste ça. « On verra plus tard ». Et là, quelque chose se ferme chez le médecin. Pourquoi ? Parce qu'il n'entend pas « On verra plus tard ». Il entend : « Tu n'es pas important. Ton avis ne compte pas. Tu n'as pas de valeur ». C'est son ego qui est touché. Son besoin de reconnaissance qui n'est pas satisfait. Et tout à coup, le conflit n'est plus du tout sur l'organisation du parcours patient. Il est sur « est-ce que j'existe ? Est-ce que j'ai ma place ici ? »
La relation comme champ de bataille
Si l'identité est le moteur, la relation est le champ de bataille où le conflit se structure. Les conflits relationnels portent sur la définition ou la gestion de la relation elle-même.
Un élément crucial ici est le rapport de place. Toute relation se définit par la position respective des protagonistes : soit de manière symétrique (entre pairs), soit asymétrique ou hiérarchique (dominant et dominé). Le conflit éclate souvent lorsque cette définition de la relation n'est pas consensuelle.
L'un peut vouloir un rapport de coopération, l'autre une simple exécution hiérarchique. La confusion des places génère du désarroi et de l'agressivité. Par exemple, un manager qui veut être chef et camarade à la fois. Ses collaborateurs ne savent plus sur quel pied danser et ça crée des tensions énormes.
L'engrenage qui s'auto-entretient
Maintenant la question c'est : comment ça s'aggrave ? Le conflit une fois déclenché ne reste pas statique. Il s'aggrave, il s'auto-entretient. C'est un engrenage. Et cela vient très rapidement, souvent dès les premiers mots échangés.
Un conflit, c'est une communication agonistique. Elle divise et produit de l'opposition. L'un des effets majeurs, c'est l'antagonisme des positions. La relation se réduit à un rapport de force. Admettre le point de vue de l'autre est très rapidement perçu comme perdre.
Reprenons nos deux associés du début. Celui qui a dit « tu ne comprends rien » a blessé l'autre. Maintenant l'autre se ferme, il attaque en retour : « Toi tu es bloqué dans le passé ». Le premier se sent attaqué. Il contre-attaque. Et ainsi de suite. Un attaque, l'autre contre-attaque. Et chacun se justifie en disant « Je ne fais que me défendre, c'est lui qui a commencé ».
C'est un cercle vicieux, un engrenage qui se nourrit de lui-même et qui accélère la tension. L'effet le plus dévastateur, c'est que le conflit tend à s'auto-entretenir. Dans cet engrenage, les stratégies prolifèrent : stratégies offensives pour gagner et prendre la position haute, stratégies défensives pour se protéger (dissimulation, mensonge). Mais ça ne fait qu'alourdir l'atmosphère en renforçant la méfiance.
Le contexte structure tout
Il y a une dimension cruciale : le contexte. Le conflit ne se déroule jamais dans le vide. Le contexte n'est pas un décor. Il structure la relation et influence profondément nos comportements. Tout est mêlé. Les enjeux s'emmêlent.
Dans le contexte familial, la famille est un système institutionnalisé. Les rivalités fraternelles pour l'amour parental, le territoire ou le pouvoir du plus grand posent les schémas relationnels que nous transférerons plus tard. Les crises de couple proviennent souvent d'un malentendu sur les attentes initiales.
Dans le contexte professionnel, on croit souvent que les conflits sont purement rationnels. C'est faux. Ce sont les mêmes mécanismes psycho-émotionnels qui sont à l'œuvre. L'organisation elle-même est un système potentiellement conflictuel.
Les enjeux juridiques, financiers, organisationnels sont enchevêtrés avec les enjeux psychologiques, identitaires, relationnels. Dans les conflits complexes que nous traitons - succession, associés, profession libérale, professionnel de santé - nous voyons cette dimension mêlée constamment.
L'approche RESOV'CO pour sortir durablement
Si le conflit est cet engrenage émotionnel, comment en sortir durablement ? Notre approche est claire : pour régler quoi que ce soit de durable, il faut cesser de se contenter de traiter uniquement les enjeux pratiques. Même une victoire juridique n'apporte pas la paix si les blessures émotionnelles et psychologiques n'ont pas été travaillées.
Sortir du conflit, c'est d'abord un acte de volonté. Cela passe par l'analyse approfondie de la situation : une analyse sur mesure qui décode les enjeux financiers, juridiques, organisationnels, mais SURTOUT les mécanismes psychologiques et émotionnels, les besoins non exprimés et les schémas réactivés.
Chez RESOV'CO, nous croisons les approches : psychologie, organisation, cadre légal, histoire de vie, émotion, schémas de pensée. C'est parce que nous considérons tous les enjeux - psychologiques, émotionnels, identitaires, existentiels, relationnels, symboliques ET matériels, financiers, organisationnels, juridiques - que nous pouvons vous aider à trouver une vraie solution pérenne et durable, pas un simple pansement.
Concrètement, qu'est-ce qui change ? L'analyse d'abord. Puis un changement de posture. L'action se situe au niveau de la relation. Nous proposons plusieurs niveaux d'intervention :
Le dialogue et la métacommunication : transformer l'antagonisme en partenariat. Cela passe par la communication, mais exige aussi l'ouverture, l'écoute et l'authenticité qui demandent bien souvent que certaines problématiques psycho-émotionnelles aient été gérées.
Le changement de cadre : la régulation implique de sortir du rapport de force et de reconsidérer la situation non pas comme un jeu à somme nulle (où si l'un gagne, l'autre perd) mais comme un jeu gagnant-gagnant. Et pour ce faire, le côté psychologique est important.
Nous avons des processus, voire des exercices pour chacune de ces dimensions : exercices de reformulation pour apprendre à entendre vraiment ce que l'autre dit sans se sentir attaqué, exercices pour identifier vos propres déclencheurs émotionnels, en parallèle au traitement de certains de vos schémas psycho-émotionnels.
⚠️ Attention, tout ceci doit être adapté à votre situation spécifique. Dans les conflits complexes, ceci nécessite un regard extérieur qui s'y connaît bien. C'est là que notre accompagnement chez RESOV'CO peut faire toute la différence.
Récapitulons
Qu'est-ce qu'un conflit ? Ce n'est pas juste un désaccord, c'est un basculement émotionnel où les réactions psycho-émotionnelles prennent le dessus sur la raison.
Derrière les enjeux concrets (argent, contrat, organisation) se cachent des enjeux invisibles mais cruciaux : psychologiques, émotionnels, identitaires, existentiels, relationnels, symboliques. L'ego et la quête de reconnaissance sont des moteurs. Le conflit s'auto-entretient dans un engrenage destructeur et tout est mêlé : le contexte, l'histoire personnelle, les blessures d'enfance.
Pour en sortir durablement, il faut une analyse approfondie qui prend en compte toutes ces dimensions. Sans cette analyse, vous restez sur le quai de la gare, vous ratez le train. Puis la mise en place de solutions qui créent de véritables changements.
Exercice pratique
Voici un exercice simple mais puissant. La prochaine fois que vous sentez monter une tension dans une relation - au travail, en famille, avec un associé - arrêtez-vous une seconde, juste une seconde, et posez-vous cette question :
Est-ce que je suis encore dans le désaccord ou est-ce que j'ai basculé dans le conflit ?
Essayez d'identifier le moment exact du basculement. Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qui a été dit ou pas dit ? Qu'est-ce que vous avez ressenti à ce moment-là ? Notez-le quelque part. Observez ce qui change quand vous prenez conscience de ce basculement.
Si vous sentez que vous êtes dans un conflit complexe - une succession, une mésentente entre associés, une tension professionnelle qui mêle du juridique, du financier et de l'émotionnel - et que vous n'arrivez pas à démêler tout ça seul, n'hésitez pas à nous contacter chez RESOV'CO.
Nous proposons des accompagnements personnalisés en coaching et médiation qui vous aident à faire cette analyse en profondeur. Pour plus d'informations : www.resovco.fr. Et si vous avez des questions, des situations dont vous aimeriez qu'on parle dans un prochain épisode, écrivez-nous.
En allant au cœur du conflit, dans cette zone intime où se joue l'ego, la reconnaissance, la peur d'être invisible, vous pouvez sortir de la spirale. Il n'y a pas de fatalité. Le conflit est difficile et douloureux, mais il est aussi un levier précieux pour la transformation durable de la manière d'être en relation, au travail comme à la maison.
La question est : ÊTES-VOUS PRÊTS à aller au cœur du conflit pour trouver une vraie solution et non un simple compromis qui ne tiendra pas ?
Karine BIAVA - RESOVCO (2025) Consultante, coach et médiatrice en résolution de conflits
RESOV'CO Cabinet de Conseils et de Coaching en gestion de conflits – Cabinet de Médiation
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